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La rue Letessier

Commence rue du Général de Gaulle et se prolonge jusqu’à la rue des Vieilles Boucheries. Autefois, elle s’appelait rue du Sauvage, nom tiré de l’enseigne d’une ancienne hôtellerie.

La rue de la Libération

Commence au 112 rue du G. de Gaulle et se continuait au-delà de la ville où elle devient la route de Dammartin à Melun. On l’appelait il y a quelques années la rue du chemin de fer et plus anciennement la rue du Gué ou rue du Gué-des-Aulnois (1628 à 1673) probablement à cause de certaines plantations d’aulnes. Elle devint rue de la Libération après 1944.

► Le portail-XIX - 1, rue de la Libération (Cuisines d'un hôtel)
Il est surmonté d'un fronton triangulaire interrompu qui repose sur deux conseols en saillie.

La rue de Meaux

Débute rue des Vieilles Boucheries et se termine place Lavollée. Au XVIIIe siècle, elle portait le nom de rue des Bois et aboutissait à une des portes du bourg appelée la porte de Meaux. C’est au début de cette rue que se trouvait la ferme dite du comté ou du prince de Condé.

La rue Notre-Dame

Commence rue du G. de Gaulle et va jusqu’à la place du bourg. Formée d’un tronçon de l’ancienne Grande Rue qui se dirigeait de ce côté avant 1766.

La rue des Oulches

Nom fort ancien rappelle les nombreux petits jardins entourés de haies vives auxquels cette rue donnait accès. Elle est désignée dans les anciens titres sous le nom de rue des Fossés-des-Oulches.
(oulches : du bas latin olchia, olcha, jardin fermé de haies.
Mot utilisé encore en Anjou et en Touraine).

La rue de la Porte-au-Pain

Autrefois, donnait accès au four banal dit Four St-Leu pour aboutir à l’une des portes du bourg, la porte au pain. Désignée dans les actes du XVIIe et du XVIIIe siècle sous ce nom. Elle allait de la place du bourg à la rue des Vieilles-Boucheries.

La rue de la Saine-Fontaine

Formait la continuation de la rue des Vieilles-Boucheries ou des Sablons et suivait le ruisseau de la Saine-Fontaine, faubourg très fréquenté au XIIIe siècle.

La rue St-Jean

Commence au 59 rue du Gal de Gaulle et se termine au carrefour de la rue Ganneval. C’était autrefois la ruelle Saint-Jean.

La ruelle Saint-Leu

A pris son nom de l’ancien four banal ou Four St-Leu. Elle conduisait de la partie ancienne de la rue Porte-au-Pain aux remparts de la Haute-Motte, et entourait la chapelle St-Leu. St-Leu était invoqué pour la guérison du mal épileptique. On peut, encore aujourd’hui, y apercevoir des « passe-pas » (aide à monter ou à descendre de cheval).

La rue Victor Offroy

A reçu le nom du poète et historien dammartinois (1799-1876). Elle formait autrefois le chemin de ronde des remparts dits de la Haute-Motte (1633-1673).
Ce nom a été donné à cette rue par délibération du conseil municipal en l’honneur de cet historien qui a exercé les fonctions d’adjoint au maire de Dammartin pendant un demi-siècle (1825-1876).

La rue des Vieilles-Boucheries

Comprend quelques maisons. Elle était appelée rue des Sablons il y a plus d’un siècle.
à cette époque elle prenait naissance au bas du talus du château et aboutissait à la Porte au Pain et aux remparts de la Haute-Motte.

La rue Ganneval

S’appelait anciennement rue du Gagne-Val d’alors avant la construction de l’école de garçons (lieu actuel des Services Techniques de la Mairie) (source Albert Melaye).

La ruelle du Colombier

Descendait directement du château-fort.

La ruelle du château

Gagnait directement la rue de Meaux et se prolongeait avec la ruelle St-Leu.

La ruelle de la Motte-Cabot

Actuellement privée.

La rue Victor Offroy

La butte Cabot, dite encore Motte-verte serait une fortification isolée ou ancien poste vigie élevé pour défendre le pays et l’approche du fort par un des comtes de Dammartin. Constituée avec les terres des fossés du château ainsi que les fouilles de la Grande Rue (aujourd’hui Rue du Général de Gaulle), qui fut percée de la Place St-Anne dite « La Pointe » et maintenant la place Delambre.
La maison, qui vient d’être restaurée, a servi de préventorium pour les enfants et pendant la Seconde Guerre mondiale a permis d’accueillir des enfants juifs soustraits à la déportation par l’abbé Terruwe.

Les ruelles Sainte-Anne et Saint-Jean

Débouchaient à l’époque sur deux hôtels qui recevaient voyageurs et diligences.
Ainsi que l’hôtel de la grosse tête (Pizerria Véronne) débouchant sur la ruelle ou sente des filoirs.